La non-violence éducative, qu'est-ce que c'est ?
C'est dans un premier temps élever son enfant sans aucune violence physique :
Ni claque, ni fessée, ni tape sur les fesses ou sur la couche, ni tapette sur la main.
C'est dans un premier temps élever son enfant sans aucune violence physique :
Ni claque, ni fessée, ni tape sur les fesses ou sur la couche, ni tapette sur la main.
C'est faire en sorte qu'en lieu et place du geste de frapper, il y ait un dialogue et que ce dialogue ne soit pas non plus violent.
Car si la violence est physique, elle peut-être aussi psychique ou verbale.
C'est alors faire en sorte de ne pas humilier l'enfant, le rabaisser, le menacer ou lui laisser penser qu'il n'est rien.
Ce n'est donc pas non plus le « ouuuh, tu es méchant de faire ça », ou le « va te cacher, tu es vilain ».
C'est alors faire en sorte de ne pas humilier l'enfant, le rabaisser, le menacer ou lui laisser penser qu'il n'est rien.
Ce n'est donc pas non plus le « ouuuh, tu es méchant de faire ça », ou le « va te cacher, tu es vilain ».
Je dois dire très honnêtement que si pour ma part j'applique assez facilement ces préceptes, j'entends qu'il peut en être autrement ailleurs, soit parce que les parents fonctionnent différemment de moi, soit parce qu'ils n'ont pas trouvé les clés de ce qu'ils recherchent.
Au deuxième groupe, je voudrais citer « la Maison de l'enfant » et rappeler que le message qu'on laisse à un enfant en le frappant peut être celui-ci :
- Quand on n'est pas d'accord avec quelqu'un, on a le droit de le frapper, même si on l'aime.
- Quand on est grand et fort, on a le droit de frapper les êtres petits et faibles.
- Quand quelqu'un vous frappe ou vous menace, il faut se soumettre à lui.
- La violence est un mal mais c'est aussi un bien, puisque c'est "pour son bien" qu'on frappe l'enfant
Et j'ai surtout surtout envie de dire que quand on frappe son enfant (prenons l'exemple des tapettes sur la main), on est amené à le faire plusieurs fois. On ne donnera jamais une seule tapette une seule fois dans sa vie. Et donc en toute logique, c'est que ça ne marche pas des masses.
Alors partons de ce postulat simple : si ça ne marche pas des masses, pourquoi ne pas faire une sorte de pari pascalien ? Se dire qu'on change d'attitude, qu'on arrête de frapper, même « un peu » et que dans tous les cas, la face du monde s'en trouvera pas changée et qu'au meilleur des cas, les rapports entre vous et vos enfants seront placés sous d'autres auspices que celui de la violence ?
Qu'en pensez-vous ?
SOURCE : Stadire du Baby Blog (BBB)
SOURCE : Stadire du Baby Blog (BBB)